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Visages des hypertension pulmonaire

J’étais une étudiante de 21 ans au collège à Toronto, alors il m’était très difficile d’imaginer qu’une maladie puisse ne toucher à cette étape de ma vie – mais c’est arrivé.
Lentement, j’ai commencé à remarquer que ma marche quotidienne pour aller à l’école devenait plus difficile, plutôt que facile, ce qui m’a semblé étrange. Donc j’ai parlé de mes inquiétudes à mon médecin de famille. Un diagnostic erroné d’asthme et divers médicaments en aérosol m’ont donné l’impression que tout allait bien, mais les choses ne se sont pas améliorées.

Après quelques visites d’urgence à l’hôpital et quelques rendez-vous avec des spécialistes, on a découvert que j’avais l’hypertension pulmonaire thromboembolique chronique (HPTC), une maladie qui est causée par des caillots sanguins microscopiques qui s’étaient accumulés dans mes poumons depuis la naissance. L’hypertension pulmonaire est une pression sanguine élevée, dans les artères des poumons, qui force le côté droit du cœur à travailler beaucoup plus fort que ce qu’il est censé faire. Cela cause un essoufflement extrême et une très faible tolérance à l’activité physique.

Au fil des années, j’ai toujours essayé de demeurer positive, pour ce qui concerne ma maladie pulmonaire, et je suis très reconnaissante pour les nombreuses bonnes années que j’ai eues. J’ai reçu un soutien formidable de tous les membres de ma famille, de mes amis ainsi que des spécialistes, ici, à Ottawa. J’ai aujourd’hui 31 ans; je prends un nouveau type de médicament et on évalue mon cas pour la possibilité d’une double greffe de poumons. Peu importe ce que sera la conclusion et laquelle des options possibles fonctionnera pour moi, j’ai tellement hâte d’être à nouveau capable de respirer!

Tina :0)