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Mary Stewart - Ottawa, Ontario

En tant qu’infirmière depuis 25 ans, je connaissais l’affection pulmonaire grave appelée « maladie pulmonaire obstructive chronique » (MPOC). Plusieurs de mes patients en étaient atteints, tout comme ma mère. Mais j’étais en déni.

J’avais des symptômes comme l’essoufflement, la toux, des infections thoraciques récurrentes et la bronchite. Mais je n’avais pas réalisé que c’était la MPOC jusqu’à ce que mon médecin m’annonce le diagnostic.

Je vis avec la MPOC depuis 17 ans, mais je ne me laisse pas ralentir par la maladie. Je m’entraîne régulièrement dans un centre de conditionnement physique, je pratique la natation à ma piscine locale et je fais partie d’une ligue de golf appelée les « Golden Girls ».

Les 10 à 15 premières minutes d’exercice peuvent être difficiles. Lorsque je nage, je dois commencer lentement avant d’intensifier mes efforts. Mais il faut rester actif. Allez-y à votre rythme et n’abandonnez pas.

J’ai vu des gens atteints de MPOC qui restent assis sur leur chaise. C’est ce qui est arrivé avec ma mère. Mais il faut continuer de bouger. Moins on en fait, moins on est capable d’en faire.

Apprenez à écouter votre corps. Soyez attentif pour voir si vous avez des signes d’essoufflement. Dosez vos efforts, mais n’abandonnez pas. Vous devez rester actif.