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Darlene Morgan - Brandon, Manitoba

Quand j’ai appris que j’avais la MPOC, je pensais que ma vie était finie. J’avais tort. S’il y a un message que je peux envoyer, c’est que ce n’est PAS fini. En fait, ma nouvelle vie ne fait que commencer. Ça n’a pas été facile – j’ai dû arrêter de fumer et apprendre à gérer ma maladie – mais ça en valait vraiment la peine. Arrêter de fumer m’a donné une toute nouvelle perspective de vie!

Au début, j’ai ignoré les signes de la MPOC. Je toussais, j’étais essoufflée et j’étais toujours malade. Je croyais que c’était dû au stress. Mais un jour, je me suis effondrée à court de souffle dans un escalier, ma fille de 16 ans à mes côtés. Ce jour-là, je me suis juré deux choses : premièrement, de ne plus jamais fumer; et deuxièmement, de transformer cette expérience en quelque chose de positif. Vivre avec la MPOC n’est pas toujours facile, mais en partageant mon histoire j’aide les autres et cela m’aide du même coup.

J’ai fait de mon diagnostic de MPOC un nouveau départ dans ma vie. Il y a deux ans, j’étais branchée à un respirateur artificiel, à l’hôpital. Aujourd’hui, je peux prendre une marche d’une demi-heure avec mes enfants, mes petits-enfants et mon chien. Je me sens mieux que depuis bien des années. Si vous croyez avoir la MPOC, consultez votre médecin. Faites-le pour vous!